© Afreepress (le 26 février 2013) — Pour valider l'étude de l'impact des actions de formations à l'endroit des ressources humaines, les représentants des pays membres du Réseau africain des Institutions et Fonds de Formation professionnelle (RAFPRO) se sont réunis lundi à Lomé pour quatre (4) jours de travail.
Cette étude est financée par le Fonds National d'apprentissage, de Formation et de Perfectionnement professionnels (FNAFPP), membre du RAFPRO.
Le point des activités formatrices financées par le FNAFPP au Togo sera fait à travers cette étude .
« Dans chacun des pays membres du réseau, il y a une structure qui finance les formations qui coûtent assez cher. Il est tout à fait normal que lorsqu'on finance une action, il faille savoir à quoi ce financement a servi. C'est une préoccupation partagée par l'ensemble des structures membres du réseau », a indiqué le président du RAFPRO, Ahmed Alkhoudar Fardel.
Il y a une étude qui a été faite au Togo avec les opérateurs de formation, disent les responsables du FNAFPP. C'est cette étude qui va faire l'objet d'analyse destinée à voir ce à quoi ont servi les formations financées par le FNAFPP au Togo.
Ces travaux qui vont durer du 25 au 28 février, s'inscrivent dans le cadre d'un atelier tenu à Ouagadougou au Burkina Faso en 2007, atelier dont le but était de « définir les indicateurs de mesure et d'impact », lesquels indicateurs devront permettre à chaque membre de procéder à la mesure des impacts des actions du FNAFPP, ont relevé les organisateurs.
Le RAFPRO comprend les fonds de 10 pays de l’Afrique, notamment le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, la Guinée, le Mali, le Niger, la République centrafricaine, le Sénégal, le Tchad et le Togo.
Les travaux de cet atelier ont été ouverts par le ministre de l'Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Brim Bouraïma-Diabacté.
Telli K.