©Afreepress-(Lomé, 27 juin 2017)- Débuté il y a cinq ans dans le cadre du programme d’investissement pour l’environnement et les ressources naturelles, le Projet Gestion Intégrée des Catastrophes et des Terres (PGICT) sera à son terme le 30 juin prochain. Un atelier de validation du rapport d’achèvement du PGICT a démarré mardi 27 juin 2017 à Lomé. Cet atelier qui réunit les acteurs impliqués dans la protection et la préservation de l’environnement a pour but de permettre aux participants de s’approprier les grandes réalisations du PGICT à travers une approche participative.

La rencontre de Lomé a permis au ministre de l’Environnement et des Ressources Forestières, André JOHNSON, de rappeler les résultats « probants et tangibles » engrangés par le PGICT et qui selon lui, font la fierté de tous les acteurs de développement. « Ces résultats obtenus nous donnent l’occasion aujourd’hui de disposer des acquis que nous capitaliserons et porterons à l’échelle nationale dans le cadre d’autres initiatives en cours de financement », a souligné le ministre. 

A la fin de ce projet le 30 juin 2017, les « résultats sont énormes » au niveau du renforcement des capacités des structures impliquées dans le cadre de la préservation de l’environnement, a indiqué au cours de cette rencontre, Amidou A. Morou, Coordonnateur du projet PGICT. Le PGICT, a-t-il souligné, a permis le renforcement des capacités d’intervention des sapeurs-pompiers. «Il a eu également l’amélioration du système d’alerte ainsi que la fourniture d’informations hydrologique et météorologiques en vue de préserver le pays contre d’éventuels catastrophes naturels », a-t-il insisté.

Le projet PGICT démarré depuis janvier 2017, a mobilisé un montant global de 16.948.947 millions de dollars  avec l’accompagnement du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) et la Banque Mondiale.

Théophile K.