© Afreepress (Lomé, le 27 novembre 2015)-Après le Burkina Faso, le Burundi, le Congo Brazza, la Côte d’Ivoire, le Gabon, les Îles Comores, le Niger, la République centrafricaine (RCA), le Sénégal, le Tchad et le Togo, la radio 100% musicale et de divertissement pour les jeunes (18-35ans), Hit Radio va poursuivre très bientôt l’extension de son réseau dans d’autres pays d’Afrique subsaharienne.
Il s’agit de l’Angola, la Guinée équatoriale, la Mozambique et Sao Tome et Principe. L’information a été portée à la connaissance de la presse à Lomé ce vendredi par le Directeur régional Afrique de Hit Radio, Eli Kodjoakou, a constaté l’Agence de presse Afreepress.
Une fois cette extension débutée en décembre 2012 en Afrique subsaharienne faite, le nombre de pays dans lesquels Hit radio émet en Afrique subsaharienne, sera au nombre de quinze (15). Au grand bonheur des jeunes de ces pays où la radio a obtenu des licences de diffusion.
Basée au Maroc et émettant depuis le 27 mai 2015 sur la 104.7 au Togo, cette radio a pour particularité de s’engager à développer un programme spécifique pour chaque pays afin d’accompagner le développement de la scène musicale par la diffusion de talents musicaux locaux.
« Nous mettons plus l’accent sur la musique autochtone, nous essayons de faire le mieux que nous pouvons. C’est une radio qui finance les mesures d’urgence, nous avons pris sur nous d’aider », a souligné M. Kodjoakou.
Selon lui, cette radio, surnommée « radio de la nouvelle génération », donne le tempo dans tous les pays où elle s’installe avec des hits savamment choisis et dosés qui correspondent à chaque instant aux attentes des auditeurs.
Les chansons de plusieurs artistes à la vogue comme Chris Brown, Davido, David Guetta, Serge Beynaud, Toofan, Ariana Grande, Booba, Adèle, Tiwa Savage et Calvin Harris sont proposées sur les antennes.
Au Togo, Hit radio propose aux auditeurs essentiellement du hip hop, du Rap et du R&B avec une programmation musicale de 45% togolaise.
Créée en 2006 par un Franco-marocain, elle compte à ce jour 100 fréquences en Afrique et en Europe.
Bernadette A.
© Afreepress (Lomé, le 27 novembre 2015)-Les élèves du Lycée de Tokoin-Est de Lomé ont été pris pour cible ce jeudi 26 novembre 2015 par les responsables de l’Ong Sève-Togo et Union Chrétienne de Jeunes gens (UCJG) pour une séance de sensibilisation sur les vertus de paix, a constaté l’Agence de presse Afrepress.
La séance de sensibilisation fait suite à un atelier de renforcement des capacités des organisations féminines en prévention, gestion, transformation et médiatisation des conflits organisé du 16 au 18 novembre derniers par Wanep-Togo à Notsè (90 km au nord de Lomé).
Ainsi, lors de la séance avec les élèves en majorité composés des filles, les responsables des deux (2) organisations féminines ont procédé à des exercices sur la définition et les causes des conflits.
« Nous avons choisi plus de filles pour cette séance de restitution de notre atelier de formation des 16 et 18 novembre derniers parce que nous avons constaté qu’elles sont pour la plupart les plus victimes des conflits. Nous les avons donc sensibilisées à cultiver la paix que de se livrer aux germes des conflits. Après les exercices et les résumés faits de la séance, ils ont tous compris que vivre en paix est mieux qu’en période des conflits », a indiqué la Secrétaire générale de l’ONG Sève-Togo, Yolande Bokossa.
Les intéressés pour leur part se sont réjouis de l’opportunité et ont souhaité qu’elle soit organisée périodiquement pour leur permettre de connaître davantage sur les conflits et ses conséquences ainsi que d’autres thématiques.
« Le conflit doit être évité par tous les moyens. On doit chercher à cultiver entre nous-mêmes en classe de bonnes relations », a expliqué Mademoiselle Edem à l’issue de la séance.
Cette action des associations à œuvrer pour la paix, rentre dans la politique du gouvernement qui consiste à cultiver entre les filles et fils togolais les valeurs de paix et d’amour.
F/F
©Afreepress-(Lomé, le 26 novembre 2015)-Comment peut-on jouir pleinement des libertés, quand le rôle et la place des femmes dans les médias, tout comme dans les sphères politiques dans les pays francophones sont encore faibles ?
C’est l’une des nombreuses questions qui a réuni ce jeudi à Lomé plus de deux cents (200) journalistes de la télévision, de la radio, de la presse écrite ou en ligne venus de 33 pays francophones lors des 44èmes Assises de l’Union de la presse francophone (UPF).
Pendant trois (3) jours, les nouveaux enjeux des médias et les défis de la corporation seront analysés autour du thème : « la place des femmes dans les médias francophones.
Les travaux de ces assises, 3ème du genre au Togo après celles de 1980 et de 2005, ont été lancés par le chef du gouvernement togolais, Komi Sélom Klassou, en présence d’éminentes personnalités politiques, administratives, religieuses et traditionnelles aux rangs desquelles, l’Ambassadeur de France au Togo, Marc Fonbaustier et le Chef de la Délégation de l’Union européenne au Togo, Nicolas Martinez-Berlanga.
« Nous aurons à discuter au cours de cette rencontre de la place des femmes dans les médias, leur influence. Les questions comment qui fait les médias et pour qui, quelle image de la femme véhiculée par les médias, et comment améliorer l’image des femmes dans les médias seront amplement abordées », a indiqué le président de l’UPF, section Togo, Peter Dogbé.
Pour le ministre chargé de la Communication, Guy Madjé Lorenzo, il est heureux que la question liée à la problématique du rôle et de la place de la femme dans les médias soit au menu de la rencontre de Lomé. Il s’est dit convaincu que les participants prendront en compte les nombreuses pesanteurs aussi diversifiées que communes à l’ensemble de l’espace francophone.
Dans son intervention, le Premier ministre Komi Sélom Klassou a indiqué que les assises de Lomé constituent un « terreau fertile » et offrent un cadre idéal pour plancher sur cette question qui est devenue un enjeu de la lutte contre les inégalités femmes-hommes dans l’ensemble des pays francophones.
« Même si la profession a commencé à se féminiser ces dernières années comme on le voit d’ailleurs au Togo, force est de constater que les stéréotypes sont encore présents. Ceci demande que l’on offre beaucoup d’opportunités aux femmes en matière de formation, de recyclage et de renforcement de capacités managériales », a-t-il insisté.
Plusieurs panels seront également au menu de ces 44èmes assises de l’UPF, notamment « journaliste ou femme journaliste », « femme journaliste dans les zones de crises », « femme journaliste dans l’espace francophone : avancées et obstacles à l’égalité ».
Joseph A.
©Afreepress (Lomé, le 25 novembre 2015)-Le monde de la littérature togolaise est en deuil. L’écrivain togolais, Isaac Esso-Wêdéo Agba a tiré sa révérence suite à une courte maladie, a appris l’Agence de presse Afreepress.
Né le 03 avril 1956, il est nanti d’un doctorat en Droit économique à l’Université de Paris dauphine. Il est auteur de plusieurs romans à l’instar de, « si l’idée ne germe » et de « des germes étouffés » parus en 2005.
Dans ses œuvres, l’auteur s’est toujours montré très sévère envers le système de parti unique qui caractérisait plusieurs pays africains dont le Togo. Il ne passe pas aussi par quatre chemins pour mentionner dans ses écrits les affres du tribalisme, de la corruption, du népotisme et du primat de la communauté sur l’individu.
Jusqu’à sa disparition, Isaac Esso-Wêdéo Agba fut en 2008, au poste de Secrétaire général au ministère de l’Economie et des finances. Il a également occupé le poste de Secrétaire exécutif adjoint de la Zone d’Alliance de Coprospérité (ZACOP).
Modeste K.
© Afreepress (Lomé, le 20 novembre 2015)-La 12ème Foire internationale de Lomé a été officiellement lancée ce vendredi au Centre togolais des expositions et foires de Lomé (CETEF) par le Premier ministre, Komi Sélom Klassou, en présence du Président de l’Assemblée nationale, Dama Dramani, a constaté l’Agence de presse Afreepress.
Couplée avec la 4ème foire régionale de l’intégration de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), les divers échanges et partages économiques, commerciales et culturelles qui se feront lors de cette fête foraine courent jusqu’au 7 décembre prochain sous le thème : « énergies renouvelables, sources de progrès et de développement économique ».
Dans son mot, la ministre du Commerce, de l'industrie, de la promotion du secteur privé et du tourisme, Bernadette Legzim-Balouki a présenté les excuses du gouvernement togolais à tous les opérateurs économiques exposants qui ont été touchés d’une façon ou d’une autre par le report de cette 12ème édition de la foire en 2014, pour cause de risques de la maladie à virus Ebola.
Pour elle, ces deux (2) rencontres sont d’une importance capitale dans la dynamisation des liens entre les pays de l’espace communautaire de l’UEMOA.
« Malgré les multiples mesures prises pour assurer l'accroissement de la production des différents secteurs économiques, les statistiques montrent que les échanges intra communautaires ne représentent qu'à peine 15% du commerce des États membres. Bien évidemment, comment peut-il en être autrement si les biens et services produits dans notre espace communautaire ne sont pas connus des populations des États membres? », a-t-elle lancé.
C’est l’occasion, a-t-elle ajouté, de faire connaître et de promouvoir activement les échanges des biens et services produits dans les États membres et qui sont totalement méconnus des consommateurs.
Le Directeur général du CETEF, Kuéku-Banka Johnson, a pour sa part présenté la particularité de cette 12ème édition de la foire. « La foire internationale de Lomé, par le passé, est comme toute autre foire ouverte à tous les secteurs de l’activité économique. Elle le sera toujours mais cette fois-ci, avec un accent particulier sur un secteur donné, celui des énergies renouvelables », a-t-il indiqué.
Le Sénégal est l’invité d’honneur de cette foire à laquelle prennent part les exposants venus d’autres pays d’Afrique, d’Europe et d’Amérique.
Sont attendus à cette fête foraine, plus de 300.000 visiteurs.
Bernadette A.
©Afreepress (Lomé le 18 novembre 2015)- Après « Osons » et « Je pars », la chanteuse togolaise, Valentine Alvares sort un nouveau single baptisé : « D’où je viens ».
Valentine Alvares à travers ce nouveau single veut décrire avec poésie les peines et les espoirs d’une jeunesse africaine, à la fois attachée à son passé et à ses racines, mais rêvant de voyages et de découvertes sous d’autres cieux.
« C’est une jeune femme talentueuse qui aime chanter son pays avec talent et sincérité », témoignent les inconditionnels de cette jeune fille talentueuse, native de Tsévié.
En dehors des courants musicaux du « Coupé-décalé » icvoirien et du « Gweta » togolais, en vogue actuellement, Valentine Alvarez distille une musique panafricaine et intemporelle résolument tournée vers le monde extérieur.
Le clip de ce nouveau single été tourné sur les hauteurs de Kpalimé.
Bernadette A.
©Afreepress-(Lomé, le 17 novembre 2015)- Sur initiative du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), plusieurs experts venus du Gabon, du Cameroun, du Sénégal et de la France prennent part depuis ce lundi à Lomé, à une session de formation sur le contrôle par les élus de l’action gouvernementale et de l’évaluation des politiques publiques, a appris l’Agence de presse Afreepress.
Cette session de formation fait suite au constat selon lequel les députés manquent d’audace et parfois de volonté politique pour demander des comptes à l’exécutif malgré les pouvoirs conférés par la constitution.
Durant trois (3) jours ces participants vont partager leurs expériences leurs collègues parlementaires africains.
Le contrôle de l'action du gouvernement par le Parlement selon le président de l’Assemblé nationale, Dama Dramani est l'une des pierres angulaires de la démocratie. « Il permet de rendre l'exécutif comptable de ses actions et d'assurer l'application efficace des politiques publiques autant qu'il est un indicateur de la bonne gouvernance ».
Elisabeth S.
©Afreepress-(Lomé le 16 novembre 2015)- Selon une enquête rendue publique par le consortium d'instituts de sondages « Afrobaromètre », plus de 79% des Togolais victimes d’agression ou de vol ne portent pas plainte auprès de la Police.
Selon la même enquête, 29% d’entre eux affirment qu’il est difficile d’obtenir l’aide de la police et 41% des Togolais interrogés estiment que le gouvernement ne fait pas assez pour combattre le crime et la délinquance. Ils sont au Togo plus de 24% à ne pas se sentir en sécurité lorsqu’ils sont en route, hors de leurs maisons et 34% à redouter d’être attaqués même lorsqu’ils sont à la maison.
35% de Togolais dit avoir déjà été victime d’un acte de vol. Mais, le pays fait partie des meilleurs élèves en ce qui concerne les agressions physiques. 6 Togolais sur 100 ont rapporté avoir été victimes d’une telle agression, l’un des taux les plus bas du continent.
Cette enquête intervient au moment où l’insécurité devient grandissante dans la capitale togolaise, Lomé.
Dans ce sondage, Afrobaromètre passe en revue le système de sécurité de 34 pays. Plus de la moitié des sondés sur le continent ont dit ne pas porter plainte à la police lorsqu’ils sont victimes d’agression ou de vol. Nombreux sont les citoyens au Togo qui font l’éloge du lynchage et estiment que ce mode de justice est plus « efficace » que l’action de la police. « Si on arrête un voleur et qu'on le tabasse, moi ça ne me gêne pas. Si on le lynche à mort, pour moi c'est lui-même qui l'a choisi ! », confie un habitant de Lomé à nos confrère de RFI. Une position dénoncée par Aimé Adi, directeur de la branche togolaise d'Amnesty International.
«Quand on tue un voleur, on est probablement en train de noyer le fond du problème, dit-il. Parce que parfois, celui qui commet le vol fait partie d'un réseau. Et quand vous le tuez, vous empêchez la justice de pouvoir aller au bout de l'enquête pour pouvoir mettre hors d'état de nuire tout l'ensemble du système ou du réseau », a-t-il soutenu toujours au micro de RFI.
Bernadette A.
©Afreepress (Lomé, le 13 novembre 2015)-Le 18 décembre prochain, aura lieu au Palais des congrès de Lomé, la grande soirée de remise des trophées aux lauréats de « All music Awards ».
L’annonce a été faite ce jeudi lors d’une conférence de presse organisée par les organisateurs dudit évènement.
Initié par la Radio zéphyr, l’une des radios considérées comme les populaires du pays, cet évènement qui récompense depuis 2003 les artistes togolais, permet de rassembler tous les artistes, qui ont été connus par leurs spectacles au cours de l’année.
Selon le Directeur de la Radio zéphyr, président du comité d’organisation de l’évènement, cette année, trois (3) nouvelles catégories ont été ajoutées aux catégories traditionnelles.
« A travers All Music Awards, nous voulons donner un goût à ceux qui veulent vraiment avancer dans le domaine de la musique », a-t-il déclaré.
All Music Awards est un évènement de récompense de la musique togolaise diffusée au Togo durant l’année, principalement sur les médias classiques (radios, télévisions, sites web et réseaux sociaux) mais aussi à travers les autres circuits de diffusion tels que les discothèques, les maquis, les cérémonies officielles et sociales.
Bernadette A.
©Afreepress-(Lomé, le 11 novembre 2015)-La première édition de la journée mondiale de la récompense pour le développement a été officiellement lancée mardi à Lomé par le Directeur de cabinet du ministère de la Planification du développement, Essohanam Edjéou en présence d’un reporter de l’Agence de presse Afreepress.
Cette journée placée sous le thème : « Ensemble pour la reconnaissance des actions de développement durable partout », a été aussi l’occasion de remettre à deux (2) nouveaux lauréats le prix international dénommé Gongs de CAPARD. Il s’agit du préfet de l’Agou, Kokou Nunyava Agbonoudji et le chef du quartier d’Adakpamé, Togbui Dagban Sylvain Akoété IV.
La journée mondiale de la récompense pour le développement est initiée par le Comité international des Gongs du Cercle de l’apologie des arts de développement (CAPARD), une organisation mondiale créée en 1995 et qui regroupe plus de 45 pays dans le monde.
L’objectif principal de cette rencontre est de prendre conscience du rôle des acteurs de développement dans l’essor de l’humanité et dans le bien-être des peuples et des citoyens du monde. La journée coïncide avec la commémoration du 20ème anniversaire du prix international de CAPARD.
« Ce prix est destiné aux hommes et aux femmes qui excellent dans les sciences, actions sociales, humanitaires, de développement. C’est des gens qui mettent leur vie au service de la communauté et qui méritent d’être encouragés. Et quand un homme ou une femme a ces qualités sans discrimination, nous lui décernons ce prix à travers un jury international qui se prononce sur tous les dossiers des 45 pays », a déclaré Emmanuel Vivien Tommy, délégué international de CAPARD.
Les deux (2) lauréats n’ont pas caché leur émotion à l’endroit des initiateurs de cet évènement. « C’est un jour mémorable et nouveau commencement pour ma personne dans ma perpétuelle quête d’un monde plus juste et plus serein. Oui, le défi est grand mais plutôt noble et combien exaltant et j’ose le croire pour tous les Gong puisque c’est de l’homme qu’il s’agit. Dans tous les cas, mon gong retentira davantage aussi longtemps que la nature et l’Homme seront outragés par certains choix de développement », a déclaré Togbui Dagban Sylvain Akoété IV, à l’issue de cette rencontre.
Joseph A.
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