© Afreepress (Lomé, le 21 juillet 2016)-Après la première édition réussie du forum AfricTalents en octobre dernier au siège de ETI Ecobank à Lomé, la capitale togolaise se prépare à accueillir la seconde édition de cette grande rencontre internationale les 21 et 22 octobre prochain. L'annonce a été faite à travers un communiqué de presse rendu public ce jour par AfricSearch, l'équipe organisatrice de cette rencontre internationale.
« AfricSearch organise la seconde édition du forum AfricTalents Lomé les 21 et 22 octobre 2016 au centre de conférence ETI. Une campagne de sélection des meilleurs candidats est en cours afin de répondre au mieux aux attentes de nos partenaires recruteurs », précise le communiqué.
En 2015 à la première édition de AfricTalents, plus de 700 candidats y ont pris part avec notamment la présence des grands groupes industriels, financiers et bancaires du Togo dont Togocel, Boad, Sodigaz, Orabank, Total, Brasserie BB Lomé, BSIC, Grant Thornton, Boa, CCT Batimat, GTA C2A, LCT etc.
« Vous êtes jeune diplômé ou cadre expérimenté, vous êtes à l'écoute du marché et vous souhaitez donner un nouvel élan à votre carrière, inscrivez vous dès à présent sur www.africtalents.com », conseillent les organisateurs du prochain forum aux potentiels candidats de la prochaine édition de AfricTalents.
Organisée annuellement par AfricSearch, l'initiative est née d'une volonté de participer au développement du continent africain. Premier cabinet de recrutement et de conseil en ressources humaines pour l'Afrique, AfricSearch est créé par le togolais Didier Acouetey. Depuis 1999, AfricTalents s'est distingué dans la continuité naturelle d'identification des ressources humaines à la recherche d'opportunités professionnelles sur le continent et des entreprises en quête de futurs collaborateurs qualifiés.
« Vous cherchez le meilleur moyen de rencontrer les hauts potentiels du Togo, d'Afrique et dans le monde, contactez nos équipes au ou via Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. . Nous nous ferons un plaisir de vous accompagner dans votre développement », promettent les organisateurs du forum.
AfricTalents c'est cinq (5) villes européennes et africaines dont Paris, Dakar, Abidjan, Lomé et Douala. C'est aussi des interventions de dirigeants et de Directeurs des ressources humaines (DRH), des conférences d'experts liées à des thèmes d'actualités en Afrique ou encore des ateliers animés par des coaches expérimentés.
DBD
© Afreepress (Lomé, le 21 juillet 2016)-Pour les huit (8) prochaines années, à commencer par Gabon 2017, la Coupe d’Afrique des nations (CAN) va changer de nom. La compétition footballistique continentale sera dénommée « Coupe d’Afrique des nations Total », en raison d’un accord intervenu entre la Confédération africaine de football (CAF), organisateur de la compétition et la société française d’hydrocarbures ‘‘Total’’.
L’accord a été signé ce jeudi à Paris en France entre le Président de la CAF, Issa Hayatou et le Président-directeur général de Total, Patrick Pouyanné.
« Ce partenariat est un cap majeur franchi dans notre recherche perpétuelle de ressources supplémentaires à même de permettre au football africain d’accélérer son développement, de se moderniser en améliorant sa gouvernance, ses infrastructures sportives ainsi que ses performances à l’échelle mondiale », indique M. Hayatou dans un communiqué de presse conjoint.
Le PDG de Total pense par le même biais qu’avec ce « partenariat », ce sont les liens et la proximité avec les parties prenantes et les clients de la société d’hydrocarbures qui vont se renforcer autour des compétitions de la plus importante coupe en Afrique.
Avec cet accord, dix (10) compétitions seront soutenues, notamment les CAN, à commencer par Gabon 2017 qui aura lieu du 14 janvier au 5 février 2017, le Championnat d’Afrique des nations (CHAN), les compétitions interclubs de la CAF, à savoir la Ligue des champions, la Coupe de la confédération et la Super coupe, les compétitions des jeunes, notamment celles concernant les moins de 23 ans, les moins de 20 ans et les moins de 17 ans. Sont aussi concernées, la Coupe d’Afrique des nations féminines et la Coupe d’Afrique des nations de Futsal.
La société Total est présente dans 130 pays, dont le Togo.
Modeste K.
©Afreepress-(Lomé, le 19 juillet 2016)- Le réchauffement climatique et la perturbation du rythme des saisons inquiètent tous les pays à travers le monde. Il est admis que les activités humaines sont en partie à l’origine des phénomènes de désertification, d’inondations, de pollution et de réchauffement du climat.
A l’occasion de la célébration ce 20 juillet de la Journée Afrique, Caraïbes, Pacifique de l’écologie, les acteurs œuvrant pour la préservation de l’environnement réunis à Lomé, réfléchissent sur l’apport du 7ème art à la sensibilisation des populations au changement de comportements et à la préservation de leur milieux de vie. Ces acteurs veulent faire du cinéma un canal pour l’éveil des consciences. C’est du moins, la mission que se sont assignée la Fédération pour la paix universelle section Togo, le Réseau groupe de réflexion des organisations écologistes du Togo et l’Ebene film communication à travers la plate-forme « paix écologie et cinéma ». Cette plate-forme entend joindre ses efforts à ceux des autorités togolaises pour mener la lutte contre le réchauffement climatique et la dégradation de l’environnement par l’utilisation de l’outil « cinéma ».
« Le 7e art est un vecteur de communication qui est vraiment très puissant. Nous pouvons l’utiliser pour faire passer un certain nombre de messages et des documentaires sur des thématiques portant sur l’environnement et le développement durable. Cela peut très facilement marquer l’esprit de nos populations, d’autant plus que ces documentaires peuvent prendre en compte l’environnement immédiat des populations », a laissé entendre le ministre Guy Madjé Lorenzo, au cours d’une rencontre organisée par les trois organisations à l’occasion de cette journée.
Célébrée le 20 juillet de chaque année depuis 2010, la Journée Afrique Caraïbes Pacifique de l’Ecologie (J.A.C.P.E) (appelée jusqu’en 2014 Journée Africaine de l’Ecologie (J.A.E) est un cadre de concertation qui permet aux gouvernements, aux décideurs, aux partis et mouvements politiques, aux partenaires de développement et aux organisations écologiques de la société civile Afrique Caraïbes Pacifique de débattre sur les questions qui touchent les populations et leur Environnement.
La J.A.C.P.E permet les échanges d’expériences et d’initiatives pour une synergie d’actions locales dans le but de relever les défis écologiques et de promouvoir l’éveil écologique en Afrique, aux Caraïbes et aux Pacifiques.
A.Y.
©Afreepress-(Lomé, le 19 juillet 2016)- Une délégation togolaise de haut niveau, conduite par le Premier ministre Sélom Komi Klassou, séjourne à New-York depuis lundi avec sous les bras, une documentation sur les efforts accomplis par le Togo dans la mise en œuvres des objectifs de développement durable.
Mardi, l’ancien ministre de la Planification, Djossou Sémondji a présenté à la tribune des Nations Unies, une partie du contenu du document réalisé par le gouvernement relatif à la mise en œuvre des ODD. Il s’est beaucoup plus intéressé aux réformes mises en place par son pays en vue de la mobilisation des ressources fiscales à l’interne. L’ex-ministre a particulièrement salué la fusion des régies financières de l’Etat, une fusion des régies des douanes et des impôts, qui a-t-il dit, a « permis d’améliorer la collecte des recettes» qui sont passées de « 14,16% du PIB à plus de 20,2% en trois ans ».
Le Togo aura besoin des Nations Unies pour l’atteinte de ses objectifs, a plaidé M. Sémondji tout en réaffirmant l’engagement et la volonté du gouvernement d’aller plus loin en matière de réformes économiques pour financer les défis liés à la mise en œuvre des ODD qui s’achèvent en 2030.
Ils sont au total 17 objectifs à composer le concept des ODD qui ont succédé en janvier dernier, aux objectifs du millénaire pour le développement (OMD). Ils portent sur 5 domaines et 169 cibles.
A.Y.
© Afreepress (Lomé, le 19 juillet 2016)-L’Agence nationale de promotion et de garantie de financement des Petites et moyennes entreprises et petites et moyennes industries (ANPGF) organise du 5 au 10 septembre prochains à l’hôtel Sarakawa à Lomé, la troisième formation EMPRETEC au Togo.
Conçu par la Conférence des Nations Unies suer le commerce et le développement (CNUCED), EMPRETEC est un programme d’appui destiné à consolider le comportement et la performance des entrepreneurs. Il a pour objectif principal de renforcer les capacités productives et la compétitivité internationale afin de promouvoir le développement économique, d’éradiquer la pauvreté et d’assurer la participation sur un pied d’égalité, des pays en développement, à l’économie mondiale.
L’annonce a été faite ce mardi au cours d’un point de presse par la Directrice générale de l’ANPGF, Naka Gnassingbé de Souza, a constaté l’Agence de presse Afreepress.
« Ce programme novateur du Système des Nations Unies est conçu sur la base des recherches effectuées par un psychologue de l’Université de Havard sur des milliers d’entrepreneurs dans plusieurs pays. Ces recherches ont permis d’arriver à la conclusion que quel que soit le pays et quelles que soient les entreprises, il existe des compétences communes propres à tous les entrepreneurs qui réussissent », a indiqué la responsable de l’Agence organisatrice.
Sont visés, les entrepreneurs déjà installés mais qui ont un projet de restructuration ou d’extension de leur entreprise, les cadres des banques qui veulent des éléments pour identifier un profil entrepreneurial et les porteurs de projets qui veulent se lancer dans l’entrepreneuriat.
Pendant ces six (6) jours, il sera question d’offrir aux participants une évaluation objective et complète de leurs potentiels d’hommes d’affaires pour accroître leurs capacités et un système d’appui et de conseils, des contacts susceptibles de les aider à réaliser leurs plans d’affaires.
Le programme EMPRETEC s’articule autour de deux (2) volets, le premier composé de 20 modules, vise les comportements types d’entrepreneurs et le second volet cible sur l’élaboration de plans d’affaires et de plans de développement.
Les inscriptions pour ce programme courent jusqu’au 29 juillet prochain. Le coût réel de la formation est de 700.000 francs CFA mais les candidats qui seront retenus ne vont payer qu’une somme de 215.000 francs CFA.
Le Togo est le troisième pays de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) à organiser ce séminaire EMPRETEC, après le Sénégal et le Bénin.
Telli K.
© Afreepress (Lomé, le 19 juillet 2016)-Selon les comptes nationaux définitifs de l’année 2012 publiés le 7 juillet denier par l’Institut national de la statistique et des études économiques et démographiques (INSEED), la part du secteur informel dans le Produit intérieur brut (PIB), c’est-à-dire l’ensemble des valeurs ajoutées par les entreprises sur le territoire d’un pays, quelle que soit leur nationalité, a diminué.
De 42,8% en 2011, ce taux est passé à 40,9% en 2012, soit une valeur ajoutée de 808,1 milliards de francs CFA en hausse de 3,5% par rapport à l’année précédente.
La baisse de la contribution de l’informel à la formation du PIB, selon ces comptes, est due particulièrement à la régression des activités informelles dans le secteur secondaire. Le poids de l’informel dans ce secteur est passé de 27,5% en 2011 à 18,5% en 2012.
Cela est d’autant plus visible quand on sait que les activités informelles des deux (2) autres secteurs n’ont presque pas varié (Primaire : 99,8% en 2011 contre 99,9% en 2012 ; Tertiaire : 22,2% en 2011 contre 21,2% en 2012).
Selon l’INSEDD, le recul en valeur des activités de l’informel dans le secteur secondaire est principalement dû à l’augmentation des activités formelles de la branche « bâtiments et travaux publics ». Les activités de construction des infrastructures routières entamées en 2011 en sont les principales causes.
Généralement, l’année 2012 indique un taux de croissance économique de 6,5% du PIB.
Telli K.