Economie (783)

Foire Adjafi : Victoire Tomégah-Dogbé donne le top départ de la 5ème édition

© Afreepress (Lomé, le 26 août 2016)-La 5ème édition de la Foire Adjafi a été ouverte ce vendredi sur le terrain de jeu du lycée d’Agoè à Lomé  par la ministre du Développement à la base, de l’artisanat, de la jeunesse et de l’emploi des jeunes, Victoire Tomégah-Dogbé, a constaté l’Agence de presse Afreepress.

 

Placée sous le thème : « la compétitivité des entreprises de jeunes dans l’espace UEMOA », cette édition de ce cette initiative qui vient en réponse aux difficultés de visibilité et d’impact commercial dont souffrent les entreprises des jeunes au Togo, réunit du 26 août au 12 septembre sur une superficie de 14.000 m² des centaines d’exposants venus de six (6) pays, à savoir, du Bénin, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Mali, du Niger et du Togo.

 

D’entrée de jeu, la ministre n’a pas manqué de faire l’apologie de cette initiative de l’Agence de communication Maxkom et de reconnaître la place qu’elle occupe au Togo, dans le monde de l’entrepreneuriat.

 

« Depuis 2012, cette foire dédiée aux jeunes entrepreneurs permet à un public très large de pouvoir découvrir les produits de nos jeunes talents. Aujourd’hui, cette foire est un événement incontournable qui regroupera cette année encore près de 200 entrepreneurs et environ 200.000 visiteurs », a-t-elle indiqué.

 

Pour le gouvernement, a-t-elle poursuivi, « il s’agit certainement d’une vitrine remarquable pour mettre en avant les dispositifs mis à la disposition de la jeunesse afin de faire d’elle une opportunité d’investissement et de développement ».

 

Selon le promoteur de la foire Adjafi, Maxime Minasseh, le thème choisi cette année invite les jeunes entrepreneurs à saisir les opportunités d’affaires qu’offre la zone de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) constituée de huit (8) pays, et à travers elle, toute la sous-région. « L’objectif poursuivi est de promouvoir l’esprit de compétitivité et de solidarité entrepreneuriale chez les jeunes chefs d’entreprises dans la perspective du renforcement de l’intégration économique au sein de l’UEMOA », a-t-il précisé.

 

Pendant les 18 jours que va durer cette foire, plusieurs activités vont se dérouler. Le top départ des activités sera donné ce samedi 27 août avec la semaine dédiée à l’UEMOA qui démarre avec une conférence inaugurale. Au cours de cette même semaine, des communications seront animées par la Chambre consulaire régionale de la Commission de l’UEMOA et des partages d’expériences des pays membres de la zone. Un panel de haut niveau sur les défis de la compétitivité dans un contexte d’intégration économique mettra fin à la semaine de l’UEMOA le 31 août.

 

La semaine de l’émergence et du développement prendra le relais, au cours de laquelle seront présentés les différents mécanismes, projets et programmes mis en place par le gouvernement togolais pour accompagner les jeunes entrepreneurs.

 

Entre autres activités, deux (2) compétitions, à savoir le « panier vert » qui va permettre de connaître la meilleure recette de cuisine à base de produits locaux et « Pepite d’or », un challenge qui va mettre aux prises une quinzaine d’écoles de formation.

 

La cérémonie de lancement a pris fin avec la visite des stands de plusieurs jeunes entrepreneurs.

 

Telli K. 

 

 

 

Banques et entreprises pensent à comment relever le taux de financement privé

© Afreepress (Lomé, le 25 août 2016)-Selon une étude du ministère de l’Economie et des finances menée auprès de 200 entreprises, celles-ci font face à des contraintes qui limitent leur productivité, notamment la faiblesse des emprunts bancaires dans leur financement.  

 

La Direction de l’économie a organisé ce jeudi à Lomé un symposium sur la contribution des banques aux financements des entreprises privées. Cadres de banques, opérateurs économiques et représentants des institutions de la République ont engagé des discussions sincères sur ce sujet afin de pouvoir tracer des voies pour sortir de l’ornière.

 

Selon Edem Kétoglo Anumu, chef division prévision au sein du ministère organisateur, les études à la direction de l’économie ont montré qu’un taux de croissance de 10% du Produit intérieur brut (PIB) réel par an est possible mais il est conditionné par une augmentation massive de l’investissement privé.

 

« C’est la prise en compte du volet privé qui nous a poussés à organiser ce symposium. Au cours des discussions, les entreprises privées et les banques doivent dire comment elles voient chacune de son côté le problème. La banque centrale aussi nous dira ce qu’elle fait pour que le système financier dans son ensemble puisse accompagner le secteur privé tout en préservant la stabilité du système dans son ensemble », a-t-il ajouté.

 

A l’issue des travaux de ce symposium, des recommandations seront formulées à l’endroit de chaque acteur, notamment les banques et les entreprises privées.

 

Les derniers comptes nationaux définitifs (2012) rendus publics le 7 juillet dernier, révèlent un taux de croissance de 6,5% du Produit intérieur brut (PIB) par rapport à l’année 2011 où ce taux était de 6,4%. Cette croissance est tirée par le secteur tertiaire qui demeure le premier secteur de contribution à la richesse nationale avec une croissance plus forte et un poids de 46,9% dans le PIB réel.

 

Modeste K.

 

 

 

Les filières riz et maïs en cours de dynamisation

© Afreepress (Lomé, le 25 août 2016)-Au sein des huit (8) pays de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA), cinq (5) filières sont prioritaires. Il s’agit du riz, du maïs, du coton, du bétail viande et de la volaille.

 

Pour assurer la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations, le ministère togolais de l’Agriculture, de l’élevage et de l’hydraulique, avec l’appui de la Commission de l’UEMOA, veut dynamiser les filières riz et maïs.

 

Les acteurs de la gouvernance des deux (2) filières, venus de toutes les régions économiques du Togo se sont appropriés ce mercredi à Lomé le contenu des stratégies d’intervention des projets de structuration  des projets d’appui à l’organisation et à la structuration de ces filières.

 

« Par ces projets, c’est d’abord le développement économique des populations et la réduction de la pauvreté qui sont visés. Nous ne voulons plus que les gens cultivent juste pour manger mais le faire pour vendre et même exporter », a indiqué Bertin Comlanvi, Conseiller au bureau de la représentation de l’UEMOA au Togo.

 

 

« Il est bien vrai qu’il faut produire mais on  va  produire dans un certain cadre. Ces deux projets viennent appuyer l’organisation des producteurs et leur structuration. L’objectif, c’est d’avoir des produits qui répondent au désir du consommateur. On ne peut le faire à un niveau donné, il faut un cadre permanent, de dialogue et d’échanges qui peut fédérer les idées et les envoyer en retour aux producteurs », a ajouté Koffi Gbétogbé, conseiller au ministère de l’Agriculture.

 

Cette dynamisation va passer par trois (3) composantes, à savoir l’appui à la structuration des acteurs dans filières maïs et riz, le renforcement des capacités de gouvernance des acteurs des organisations professionnelles des deux filières et la capitalisation des résultats.

 

Bernadette A.

Malversation financière à l’OHADA

Malversation financière à l’OHADA

Écrit par mercredi, 24 août 2016 22:01

© Afreepress (Lomé, le 24 août 2016)-La  41ème réunion du conseil des ministres de l’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (OHADA) a constaté des fautes graves ont été constatées dans la gestion financière de la Cour commune de justice et d’arbitrage (CCJA) et de l’Ecole régionale supérieure de magistrature (ERSUMA).

 

Ainsi, le conseil des ministres de l’OHADA, a dû, après enquête, mettre fin aux fonctions des responsables desdites institutions rattachées à l’OHADA.

 

L’information a été donnée ce mercredi par le conseil des ministres tenu ce mercredi sous les auspices du chef de l’Etat, Faure Gnassingbé.

 

Cette organisation enregistre également une bonne nouvelle. « En dépit des difficultés de mobilisation à bonne date des contributions de certaines parties, l’institution a fonctionné normalement. Les partenaires techniques et financiers de l’institution se sont également félicités du succès de l’OHADA, des révisions de certains textes harmonisés et des efforts en cours pour rénover les bureaux de l’institution », a souligné le communiqué du gouvernement.

 

L’organisation qui a pour rôle d’unifier le droit des affaires dans ses pays membres, est constituée de seize (16) Etats. Il s’agit du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, des Comores, du Congo, de la Côte d'Ivoire, du Gabon, de la Guinée, de la Guinée-Bissau, de la Guinée équatoriale, du Mali, du Niger, de la République centrafricaine, du Sénégal, du Tchad et du Togo.

 

Telli K.

Changements climatiques : le projet ACE-WA au cœur des débats à Lomé

© Afreepress (Lomé, le 23 août 2016)-Pour agir efficacement sur les changements climatiques, sujet d’actualité dans le monde entier actuellement, les pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) se donnent pour politique d’atteindre 35% à l’horizon 2020 et 48% à l’horizon 2030 de part des énergies renouvelables dans le total de la capacité de production d’électricité installée dans la région de la CEDEAO, ou encore de porter à 10% en 2020 et à 19% petites centrales hydroélectriques et la biodiversité.

 

Ayant jugé lente la mise en œuvre de cette politique sous régionale, sept (7) organisations de la société civile basées dans sept (7) pays en Afrique de l’Ouest ont initié un projet dénommé « Accélérer la mise en œuvre des Politiques régionales sur les énergies  propres en Afrique de l’Ouest » (projet ACE-WA).

 

Ce projet a fait l’objet ce mardi à Lomé d’un atelier  à l’endroit des représentants des départements ministériels, des Organisations non gouvernementales, des sociétés œuvrant dans le domaine de l’énergie au Togo et des professionnels de médias, a constaté l’Agence de presse Afreepress.

 

L’objectif , selon l’Organisation pour l’environnement et le développement (OPED), organisateur de cette rencontre, c’est de présenter cette initiative afin de renforcer la mise en œuvre des politiques régionales en Afrique de l’ouest sur l’accès à l’énergie durable en faveur des pauvres dans le cadre de l’atténuation des changements climatiques, de prendre connaissance des stratégies et des priorités nationales en ce qui concerne l’accès à l’énergie pour les populations pauvres et défavorisées et d’échanger sur les mesures pouvant permettre un meilleur déploiement et une plus large diffusion des énergies renouvelables au Togo.

 

« Au niveau de la sous-région, des politiques ont été déjà élaborées et adoptées par les chefs d’Etat des pays membres et ces politiques visent à atteindre des objectifs assez importants en ce qui concerne le développement des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique. Cependant, force est de constater que la mise en œuvre de ces politiques est très lente, ce qui  nous rend pessimistes par rapport à l’atteinte des objectifs fixés », a indiqué Joseph Yaovi Kogbé, Directeur exécutif de l’ONG OPED. 

 

Représentant le ministre de l’Environnement et des ressources forestières à l’ouverture de cet atelier, Sama Boundjouw, Secrétaire général dudit ministère a d’entrée déclaré que le changement climatique est un véritable enjeu du siècle. « Bien que l’Afrique contribue très faiblement aux émissions de gaz à effet de serre, elle est pourtant l’un des continents les plus vulnérables aux impacts négatifs des changements climatiques », a-t-il lancé tout en ajoutant qu’ « il ne fait l’ombre d’aucun doute que la plupart des modes actuels de satisfaction des besoins en énergie dans les pays de l’Afrique de l’ouest, contribue à l’aggravation du phénomène de réchauffement climatique à travers la déforestation, l’activité industrielle, le transport et l’agriculture ».

 

Aujourd’hui, a-t-il poursuivi, la production et l’utilisation de l’énergie doivent être pensées autrement. « Le Togo, en ce qui le concerne, s’est résolument engagé à faire de la transition énergétique le moyen le plus sûr pour lutter contre ces changements climatiques », a-t-il ajouté.

 

Bernadette A.

 

 

 

Les travailleurs de Wacem et Fortia en assemblée générale pour dénoncer la complicité du gouvernement

© Afreepress (Lomé, le 23 août 2016)-Huit mois après la signature d’un accord intervenu entre les délégués du personnel et la direction de Wacem sous l’égide du ministère de tutelle travailleurs de Wacem, les choses semblent demeurer dans une stagnation qui ne dit pas son nom.  A ce jour, le constat qui est fait par les employés de ces sociétés est celui relatif au refus des employeurs de mettre en application les conclusions de cet accord tripartite.

 

Pour se faire entendre et exiger leur application, les travailleurs de Wacem et Fortia étaient hier après midi en assemblée générale à Tabligbo. Plusieurs centaines de travailleurs de ces deux sociétés ont massivement pris d’assaut l’enceinte de la place de l’indépendance à Tabligbo pour répondre à la convocation d’une assemblée générale de leurs délégués.

 

« C’est normal qu’on se retrouve aujourd’hui car il vous souvient que le 5 janvier dernier il y avait eu un accord signé entre Wacem, le ministère des mines et nous. A notre grande surprise après la signature de ct accord,  700 de nos camarades ont été abusivement licenciés et renvoyés à la maison et rien n’a été fait à la suite de toutes nos revendications sociales. Aujourd’hui on a eu droit qu’à une série de licenciements à Wacem», précise Sédonou Kodjovi, Secrétaire général adjoint du Sydemines.

 

C’est depuis octobre 2015 que les travailleurs de ces sociétés ont décidé d’observer une grève générale au sein de l’usine pour exiger de meilleures conditions de travail et de vie. En réponse à leurs mouvements de grève, les responsables de Wacem ont décidé de licencier 700 travailleurs. Et pour étouffer la lutte et le combat que mènent ces employés de Wacem et Fortia dans la défense de leurs droits pour de meilleures conditions de travail, les responsables de ces sociétés ont opté pour la diversion en octroyant des primes aux travailleurs licenciés.

 

« En dehors de cela ces derniers temps on assiste à une distribution de 50 et 100 000 francs comme droits de licenciement payés à nos camarades par nos employeurs », dénonce le Secrétaire général adjoint du Sydemines.

 

L’assemblée générale a également permis aux travailleurs de Wacem et Fortia de passer en revue les principaux sujets relatifs au Panama Papers. Trois semaines après la publication par les médias togolais du scandale financier lié à l’évasion fiscale de Wacem, les employés de ces deux sociétés s’estiment interpellés et dénoncent le silence du gouvernement.

 

« Nous avions appris que plusieurs ministres ont des actions à Wacem et que les cris des travailleurs ne leur disaient rien. Aujourd’hui nous concluons qu’ils ont été complices des employeurs de Wacem et Fortia pour nous faire subir ce que nous vivons aujourd’hui. On dénonce le partage des dividendes par des actionnaires parmi lesquels figurent les autorités du pays. Nous comprenons pourquoi ils ont du mal à donner satisfaction à nos revendications sociales car leurs intérêts seraient en jeu».

 

Face à ce constat, ces travailleurs se disent victimes de la duplicité du gouvernement et de leurs employeurs. Comprenant les vraies raisons qui expliquent le refus de réactivité du gouvernement face à leurs multiples revendications restées à ce jour sans suite, ils s’estiment trahis.

 

« Nous avons été trahis par notre gouvernement et par nos employeurs à cause des intérêts qu’ils ont dans ces sociétés. Avec toutes nos revendications restées sans satisfaction nous avons tout simplement compris que c’était une trahison ».

 

A la fin de l’assemblée générale, les travailleurs de Wacem et Fortia ont lancé un ultimatum au gouvernement pour satisfaire leurs exigences.

 

« Aujourd’hui nous demandons une chose que nos revendications soient satisfaites d’ici le 5 septembre prochain sinon nous appellerons à une autre Ag pour définir des actions à mener pour nous faire entendre par les autorités », préviennent ils. 

 

Les revendications de travailleurs de Wacem et Fortia touchent les questions de santé notamment la visite médicale, la mise en place d’une assurance maladie pour tous les employeurs de Wacem et Fortia, la régularisation de la situation des travailleurs contractuels cas par cas, la déclaration de tous les travailleurs à la Cnss, la jouissance des congés payés, la redéfinition de chaque travailleur contractuel etc.

 

DBD

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